Mon journal d'écriture

Les Pélagies sont des créatures fantastiques. Ce sont de jeunes femmes aux cheveux d’or très longs et à la peau couleur crème. Elles sont élancées et pourvues d’un physique fort attrayant. Les Pélagies se promènent à peine vêtues : petite camisole et culotte de dentelle blanche ou rose et longues bottes de cuir brun. Elles se parent de bijoux argentés au cou, aux doigts, aux oreilles et aux poignets.

Elles vivent en communauté dans la forêt bretonne au nord-ouest de la France. C’est dans cette même forêt qu’habite Merlin l’enchanteur et certains druides comme Panoramix. Ces nymphettes occupent leurs journées à cueillir des baies, des plantes et des noix pour se nourrir. Elles consacrent également une bonne partie de leur temps à se faire une beauté et à entretenir leur clairière. Au crépuscule, elles chantent de douces mélodies qui bercent la nature qui les entoure.

Ces femmes de rêve vivent en harmonie avec les habitants de la forêt sans toutefois jamais donner leur cœur à une douce moitié.

Bonjour tout le monde!

Je veux d’abord vous dire que j'ai éprouvé un plaisir fou à composer la fabuleuse histoire du monstre du Lac-du-Cerf. J'imagine que vous vous en doutiez! Je partage le même avis qu’Audrey-Anne lorsqu’elle dit qu’il faut d’abord comprendre les différents types de phrases avant de les utiliser dans un texte. Il s’agit donc d’une bonne façon de les apprendre.

Par ailleurs, j’aimerais que vous lisiez cet extrait : « Il leur posait des questions telles que : Quand l'avez-vous vu? À quelle heure apparaît-il? Où étiez-vous lorsque vous l'avez aperçu? »

Savez-vous si c’est correct d’avoir commencé les questions par une majuscule? Devais-plutôt utiliser une minuscule? Savez-vous si je devais séparer les questions par des virgules? Disons que je me suis posée la question hier soir. J’ai hésité un certain temps. Je ne savais pas où chercher les réponses à mes questions alors je me suis fier uniquement à mon jugement personnel. Si vous connaissez les réponses, dites-moi le s.v.p. afin que je puisse corriger mon texte.

Bon après-midi!

Jacinthe

                  Il y a plusieurs personnes à travers les années qui ont affirmé avoir vu ou entendu le monstre du lac. Cette semaine, un journaliste est venu au village et a questionné quelques témoins. Il leur posait des questions telles que : «Quand l'avez-vous vu? À quelle heure apparaît-il? Où étiez-vous lorsque vous l'avez aperçu?»

Jérôme, mon voisin, un vieux du village a même dit : « C'est effrayant! On entend des hurlements parfois la nuit. » Il a aussi dit : « N'allez jamais vous promener tard la nuit sur le lac. C'est dangereux! » M. Boismenu, propriétaire de la pourvoirie du même nom, fervent adepte de la pêche sportive, a rapporté avoir été victime du monstre qui aurait brisé sa canne à pêche. Depuis quelques temps, il ne prend plus le risque de s'aventurer seul sur le plan d'eau à la brunante.

Il semble que le monstre soit actif en soirée et la nuit. Il ne s'approche jamais des rives, il reste au large dans les eaux profondes du lac.

Cet animal dont nous parlons et qui nous intrigue tant n'est peut être que le fruit de notre imagination. Qui sait? Maintenant que les témoignages ont fusé de partout, comment pourrions-nous appeler le célèbre monstre du Lac-du-Cerf?

* Note : Il s'agit d'une histoire purement fictive. Il n'y a pas de monstre comme tel dans le Lac-du-Cerf. En réalité, il y a toutefois de gros poissons. Certains atteignent même la taille des humains. Il s'agit de vieux poissons vivant dans les lointaines profondeurs du lac, dans des fosses. Par le passé, des plongeurs sous-marins ont affirmé en avoir rencontré. Ils sont remontés à la surface et ont refusé d'y retourner.

Bonjour tout le monde! Comment allez-vous? Moi, je vais bien!

Je vous fais parvenir mon commentaire sur la carte conceptuelle.

Commentaire

Je crois effectivement que l'utilisation d'une carte conceptuelle s'avère un excellent moyen pour planifier un texte. En effet, je considère que cet outil pourrait même supplanter notre traditionnel "brainstorming" (remue-méninges). La carte conceptuelle est supérieure au remue-méninges parce que les concepts y sont structurés entre eux, les liens sont donc déjà implantés.

Par ailleurs, je trouve que la création d'une carte conceptuelle permet de mettre les idées sur papier au fur et à mesure qu'elles nous viennent à l'esprit. Ainsi, on libère notre cerveau et on ne sera pas stressé d'oublier les bons éléments trouvés puisqu'ils sont notés. Ce qui facilitera sans nul doute l'ajout d'éléments supplémentaires.

Dans un autre ordre d'idées, j'aimerais souligner que je compte bien, en tant que future enseignante, utiliser cet outil dans ma e. Selon moi, la réalisation d'une carte conceptuelle constitue la première étape de la planification d'écriture. Celle-là même qui précède la rédaction du plan. Il faut comprendre que la carte conceptuelle traite d'éléments qui touchent un sujet large tandis que le plan sert à exposer uniquement les éléments qui seront traités dans le texte et ce, dans l'ordre qu'ils seront abordés. Donc, il pourrait s'agir, selon moi, d'un cheminement qui servirait à préciser le contenu du texte à écrire.

Et vous, pensez-vous comme moi?

Selon vous, est-ce que la création d'une carte conceptuelle précéderait la rédaction du plan?

Préféreriez-vous que vos élèves fassent un "brainstorming" (remue-méninges) ou une carte conceptuelle?

Sur ces trois questions, je vous souhaite une bonne fin de semaine!

Jacinthe

Me vanter, ça me semble inhabituel puisque j’ai tellement peur de paraître prétentieuse. Pourtant, l’exercice ne m’a pas apparu si difficile. Effectivement, je n’ai eu qu’à penser à mon évaluation de stage et à la rétroaction que j’ai reçue lorsque j’ai fait de la suppléance. Donc, les qualificatifs exploités dans ma publicité ne viennent pas de moi, mais bien des autres. Pour ma part, je n’ai eu qu’à les mettre sur papier.

De plus, j’ai trouvé l’exercice motivant parce qu’il a fait place, d’une part à la créativité et d’autre part, il requérait plusieurs habiletés. En effet, je crois que dans une publicité, on mise beaucoup sur l’aspect visuel : les images, les couleurs, la qualité du texte, la calligraphie, la disposition du texte, etc. Le défi n’est pas seulement de composer un texte élégant, mais bien de rendre un message attrayant. Ainsi, cela permet de mettre à l’épreuve des habiletés informatiques telles qu’aller chercher des images dans internet et connaître les différentes options d’un programme informatique.

Finalement, je constate que cet exercice m’a permis de développer deux compétences[1] visées par mon programme universitaire.

[1] Compétence 2 : Communiquer clairement et correctement dans la langue d’enseignement, à l’oral et à l’écrit, dans les divers contextes liés à la profession enseignante.

Compétence 8 : Intégrer les technologies de l’information et des communications (TICS) aux fins de préparation et de pilotages d’activités d’enseignement-apprentissage, de gestion de l’enseignement et de développement professionnel.

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J'ai apprécié pratiquer l'exercice d'écriture qui nous a été imposé parce que je suis fière de partager avec le monde ce que j'ai réalisé cet été. De plus, il m'est aisé d'en parler puisque c'est un sujet qui est très proche de moi et, encore, bien frais dans ma mémoire.

Par ailleurs, je peux confirmer qu'à première vue, notre composition écrite ressemble à celles que nous devions rédiger au primaire en début d'année scolaire. Toutefois, jamais je ne me lasserai de partager avec les autres les joies et les malheurs de mon quotidien ou encore, de mes étés et ce, autant à l'oral qu'à l'écrit.

À l'intérieur de ce même commentaire, j'aimerais souligner le fait que j'ai particulièrement apprécié l'ambiance de travail qui régnait en classe lors de l'exercice. J'en suis fortement reconnaissante envers notre professeure. J'ai l'impression que grâce à elle, nous aurons droit, dans cette classe, à un climat de respect propice à l'apprentissage.

Finalement, pour ce qui est du délai accordé pour rédiger notre court texte, je crois personnellement qu'il était suffisament long puisque j'ai eu le temps d'écrire deux versions de ce que j'ai fait cet été. Ainsi, j'ai eu le privilège d'afficher mon texte préféré parmi les deux sur mon blog.

Merci de m'avoir lu.

Jacinthe Legault

Cet été, fort heureusement, j'ai eu l'occasion de m'amuser!

J'ai eu la chance d'assister à deux mariages, un à Québec et l'autre, à Papineauville. Tous les deux étaient très bien toutefois, j'ai trouvé le deuxième plus spectaculaire.

Par ailleurs, j'ai eu le plaisir de séjourner une fin de semaine sur une base de plein air dans la région de l'Amiante en compagnie de la famille élargie de mon conjoint, Stéphane.

Ensuite, après cette fin de semaine, mon conjoint et moi avons poursuivi nos vacances dans les Cantons-de-l'Est. Nous nous sommes promené en voiture sur les routes de campagne, ce qui nous a permis d'admirer les paysages montagneux et majestueux de cette région. Nous nous sommes installés une nuit dans une charmante auberge de North Hatley et le reste des vacances, nous nous sommes contentés de notre tapis de sol et de notre tente. Lors de ce séjour d'une semaine, j'ai visité plusieurs endroits tels que le moulin à laine d'Ulverton, le parc national du Mont Mégantic avec son astrolab, ses observatoires d'astronomie, son mont St-Joseph et ses sentiers pédestres, le festival des nations à Sherbrooke, le musée Joseph-Armand Bombardier et l'Abbaye St-Benoît-du-Lac.

Au mois d'août, j'ai également eu la chance d'assister à une réprésentation de la pièce de théâtre: Libre-échange interprétée, entre autres, par les talentueux comédiens Michel Dumont et Claude Michaud. 

Naturellement, l'activité a été précédée d'une bonne table. Tout cela constituait en fait mon cadeau d'anniversaire de la part de Stéphane.

Finalement, j'ai profité de la saison estivale pour m'initier à la passion fromagère! En effet, j'ai commencé à fabriquer du fromage artisanal à partir du lait cru des vaches Ayrshire et Suisse brune...MMM.....Quel régal!